Cystite et pyélonéphrite.
BGN : bacille Gram négatif ; CGP : coque Gram positif.
Fièvre.
Altération de l’état général.
Douleurs pelviennes.
+ Signes fonctionnels urinaires Signes fonctionnels urinaires (brûlures mictionnelles, pollakiurie, dysurie).
Douleurs lombaires (unilatérales).
Frissons.
+ Douleurs pelviennes.
+ Signes fonctionnels urinaires Signes fonctionnels urinaires (brûlures mictionnelles, pollakiurie, dysurie).
Douleurs lombaires (unilatérales).
+ Nausées, vomissements Nausées, vomissements .
Urines troubles, malodorantes (pyurie) ± hématurie macroscopique.
BU : leucocytes + sang ± nitrites positif si BGN (germes uréase +), négatif si CGP.
Recherche facteurs favorisant locaux.
Urines troubles, malodorantes (pyurie) ± hématurie macroscopique.
BU : leucocytes + sang ± nitrites positif si BGN (germes uréase +), négatif si CGP.
Recherche facteurs favorisant locaux.
Entérobactéries (BGN) : Escherichia coli (90 % des infections urinaires en ville, 65 % à l’hôpital), Proteus (4 % en ville, 10 % à l’hôpital), Klebsielle (2 % en ville, 8 % à l’hôpital).
Staphylocoque (CGP), streptocoque (CGP), levures.
Entérobactéries (BGN) : Escherichia coli (90 % des infections urinaires en ville, 65 % à l’hôpital), Proteus (4 % en ville, 10 % à l’hôpital), Klebsielle (2 % en ville, 8 % à l’hôpital)
Staphylocoque (CGP), streptocoque (CGP), levures.
Pyélonéphrite aiguë.
Cystite récidivante (≥ 4 épisodes/an ou dernier épisode datant de < 3 mois ).
Sepsis sévère, choc septique.
Abcès rénal.
Insuffisance rénale chronique sur néphropathie interstitielle si pyélonéphrites à répétition.